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Sans lui mes randamp;ecirc;ves se déchirentfaut dire qu'un nouveau jour en long silence commenceElle est gravée dans ma mémoirel'histoire d'une femme et d'un homme heureuxJ'ai beau changer souvent d'adresserenaissent les mandamp;ecirc;mes vides et les angoisses tenacesJ'ai beau m'inventer le contraireQue faire?Sinon tricher encore un peuVous lui direz que je suis guérieVous mentirezmes amis, tant pisVous essaierez une fois de plusde lui cacher que je suis perdueVous lui direz sans baissez les yeuxqu'il a bien fait de me dire adieuinventez lui que belle est ma vieque j'ai fini de souffrir pour lui...Un nouveau jour, un nouveau doute s'ajoutentL'oubli est comme certains livres andamp;quot;à suivre...andamp;quot;Et moi dans ma désespérance immenseje ne sens pas mourir le feuJe garde en moi ce qui fut nandamp;ocirc;trej'emporte partout ce mot toujours le mandamp;ecirc;me andamp;quot;jet'aime...andamp;quot;Et je comprend pourquoi Venise s'enlisequand je repense à notre adieu...Vous lui direz que je suis guérieVous mentirezmes amis, tant pisVous essaierez une fois de plusde lui cacher que je suis perdueVous lui direz sans baissez les yeuxqu'il a bien fait de me dire adieuinventez lui que belle est ma vieque j'ai fini de souffrir pour lui...
Mireille Mathieu
Vous lui direz
Vous lui direz
Sans lui mes randamp;ecirc;ves se déchirentfaut dire qu'un nouveau jour en long silence commenceElle est gravée dans ma mémoirel'histoire d'une femme et d'un homme heureuxJ'ai beau changer souvent d'adresserenaissent les mandamp;ecirc;mes vides et les angoisses tenacesJ'ai beau m'inventer le contraireQue faire?Sinon tricher encore un peuVous lui direz que je suis guérieVous mentirezmes amis, tant pisVous essaierez une fois de plusde lui cacher que je suis perdueVous lui direz sans baissez les yeuxqu'il a bien fait de me dire adieuinventez lui que belle est ma vieque j'ai fini de souffrir pour lui...Un nouveau jour, un nouveau doute s'ajoutentL'oubli est comme certains livres andamp;quot;à suivre...andamp;quot;Et moi dans ma désespérance immenseje ne sens pas mourir le feuJe garde en moi ce qui fut nandamp;ocirc;trej'emporte partout ce mot toujours le mandamp;ecirc;me andamp;quot;jet'aime...andamp;quot;Et je comprend pourquoi Venise s'enlisequand je repense à notre adieu...Vous lui direz que je suis guérieVous mentirezmes amis, tant pisVous essaierez une fois de plusde lui cacher que je suis perdueVous lui direz sans baissez les yeuxqu'il a bien fait de me dire adieuinventez lui que belle est ma vieque j'ai fini de souffrir pour lui...
